
GESTION DES RÉSIDUS MINIERS
La gestion durable et sécuritaire des résidus, une question de gouvernance pour Falco
Contexte
En conformité avec sa politique environnementale et ses objectifs environnementaux, sociaux et de gouvernance (« ESG »), de même qu’en cohérence avec l’initiative Vers le développement minier durable (« VDMD »), Falco prend des engagements relatifs à la gestion des résidus et l’intègre à sa gouvernance.
Une stratégie tirant profit des opportunités du projet, contribuant à l’amélioration du passé minier de la région, reflétant les meilleures pratiques de l’industrie et visant à gérer les résidus de façon durable et sécuritaire est à la base du développement du projet Horne 5 .
La gestion des résidus est intrinsèquement liée à la gestion de l'eau .
VDMD
Programme de développement durable de l'Association minière du Canada reconnu mondialement, qui aide les sociétés minières à gérer leurs responsabilités environnementales et sociales, à évaluer leur rendement et à publier des rapports à cet égard.
Comme d’autres secteurs d’activités, l’extraction minière génère des résidus qui peuvent nuire à l’environnement s’ils ne sont pas gérés adéquatement. C’est pourquoi la gestion des résidus est l’objet d’une attention particulière, dès la planification et la conception d’un projet minier.
Dans le cadre du projet Horne 5, environ 80 Mt de résidus seront générés par le traitement du minerai
Environ 60% de résidus de flottation de pyrite (« RFP ») Environ 40% de résidus de concentré de pyrite (« RCP »)
La stratégie de gestion des résidus et les mesures de restauration supposent que les deux flux de résidus (RFP et RCP) sont acidogènes, lixiviables et cyanurés. Falco a adopté cette position stratégique conservatrice bien que les analyses géochimiques démontrent que les RFP sont moins réactifs et pourraient ne pas être générateurs d’acide.
Le développement minier souterrain générera aussi des stériles miniers, dont environ 1,5 Mt devront être hissés à la surface.
Le plan de minage ne permettant pas la ségrégation des différentes lithologies, la stratégie de gestion des stériles suppose que tous les stériles sont acidogènes et lixiviables. Les analyses géochimiques démontrent toutefois que ces réactions ne devraient avoir lieu qu’après plusieurs années d’exposition à l’air.
En raison de leur potentiel de générer de la contamination, les résidus et les stériles doivent être gérés de façon sécuritaire.
Stratégie
Plusieurs éléments ont été pris en considération pour élaborer la stratégie de gestion des résidus du projet Horne 5.
La nature du projet amène son lot de contraintes, notamment dû à son emplacement en milieu urbain, mais aussi des opportunités, comme :
- La nécessité d’utiliser du remblai minier pour exploiter la mine Horne 5, et l’opportunité d’utiliser les résidus de traitement du minerai dans la fabrication de ce remblai.
- La présence d’anciennes mines souterraines à proximité, et l’opportunité d’utiliser les ouvertures souterraines disponibles pour y déposer des résidus.
Tenant compte de l’historique minier de la région, Falco a aussi privilégié l’utilisation d’un site déjà impacté pour disposer des résidus ne pouvant être déposés dans les anciennes mines souterraines.
La stratégie de gestion des résidus s’articule autour des éléments suivants :
- La valorisation de résidus par leur utilisation dans le remblai minier (remblai en pâte), tout au long de la durée de vie de la mine.
- La déposition de résidus sous forme de remblai hydraulique dans les ouvertures souterraines des anciennes mines avoisinantes, tant qu’il y aura de l’espace disponible (période de production sans installations de gestion de résidus miniers (« IGRM »).
- L’entreposage des excédents de RFP et RCP dans des IGRM, dans un lieu unique, préférablement déjà impacté (période de production avec IGRM).
La nature des résidus, la distance à parcourir et le contexte urbain ont orienté la sélection des modes de gestion et de transport les plus appropriés pour la déposition en surface, soit des résidus épaissis, transportés hydrauliquement par des conduites.
Remblai en pâte
Séquence typique de forage-dynamitage-remplissage de la méthode d'extraction par longs trous transversaux
L’exploitation de la mine Horne 5 nécessite une grande quantité de remblai minier. La méthode de minage (chantier long trou transverse) et la séquence d’extraction (primaire et secondaire) prévoient que tous les chantiers seront minés puis remblayés avec du remblai en pâte.
L’utilisation de résidus dans la fabrication de remblai minier est reconnue comme une activité de valorisation dans les Lignes directrices relatives à la valorisation des résidus miniers du Gouvernement du Québec.
Des analyses ont été réalisées afin de déterminer le type de remblai et les proportions de RCP et RFP à utiliser dans la recette de remblai en pâte développée pour le projet Horne 5.
Selon les estimations, plus de 45 % des résidus seront valorisés dans le remblai en pâte, tout au long de la durée de vie de la mine.
Des stériles conservés sous terre seront utilisés pour la mise en place du remblai en pâte dans les chantiers minés.
L’excédent sera hissé en surface et acheminé aux IGRM.
Remblai hydraulique
Pendant les premières années d’exploitation (période de production sans IGRM), les résidus qui ne seront pas utilisés dans le remblai en pâte sont prévus être déposés sous terre sous forme de remblai hydraulique, sans additif.
Selon les estimations, les galeries et chantiers de l’ancienne mine Horne procureront un peu plus de 4 M m 3 d’espace d’entreposage.
Les RCP et RFP seront pompés de l’usine de traitement du minerai jusqu’au-dessus de l’ancienne mine Horne par conduite, puis dirigés sous terre par un réseau de forages, de pompes et de conduites.
Selon les estimations, environ 7 % des résidus sont prévus être déposés sous terre sous forme de remblai hydraulique, pendant une période d’environ deux ans
Les eaux de ressuage provenant de la consolidation des résidus déposés dans les ouvertures souterraines s’écouleront vers des stations de pompage. Elles seront pompées et captées par le système de collecte des eaux de contact de la mine, puis pompées en surface pour être réutilisées, tel que décrit dans le plan de gestion de l’eau.
Aucune migration des eaux de contact vers l’extérieure n’est anticipée pendant l’exploitation étant donné le confinement hydraulique généré par le pompage. Peu d’interactions sont attendues avec les eaux souterraines en raison de la faible perméabilité du roc en profondeur.
IGRM
Les résidus ne pouvant être utilisés dans le remblai en pâte ou déposés sous terre seront transportés aux IGRM par conduites.
Sur la durée de vie de la mine, plus de 50 % des résidus seront retournés sous terre
Sélection de site
Pour déterminer le meilleur endroit pour aménager les IGRM, une étude de sélection de site a été réalisée sur la base du Guide sur l’évaluation des solutions de rechange pour l’entreposage des déchets miniers d’Environnement Canada.
Onze sites localisés dans un rayon de 20 km du complexe minier Horne 5 (« CMH5 ») ont été évalués selon des critères de bases. Cinq sites ont été présélectionnés puis soumis à une analyse détaillée sur la base d’indicateurs environnementaux, socio-économiques, techniques et économiques.
Les résultats de l’étude ont mis en évidence le site de l’ancienne mine Norbec ( sur la carte), à l’ouest de D’Alembert, comme meilleur emplacement pour aménager les IGRM.
Le site Norbec présente plusieurs avantages, dont le fait d’être un site déjà impacté par d’anciennes activités minières. Un seul des deux parcs à résidus existants a été restauré et le site requiert toujours un traitement d’eau.
La mise en place des IGRM engendrera la perte des bassins d’eau de mine existants et des étangs de castor et milieux humides avoisinants. Ces pertes seront compensées, notamment par l’aménagement d’un nouvel habitat de valeur équivalente. De plus, à la fin de l’exploitation, le site sera entièrement restauré et n’aura plus besoin de traitement d’eau ni d’intervention.
Tracé des conduites
Le tracé des conduites transportant les résidus du CMH5 aux IGRM a aussi fait l’objet d’une sélection sur la base de plusieurs critères :
- Éviter de traverser un secteur résidentiel
- Minimiser la mise en place de nouveaux accès
- Minimiser le déboisement
- Minimiser les passages dans les milieux humides et hydriques
La recherche d’options à l’ouest du secteur résidentiel Noranda-Nord/Lac Dufault a permis d’identifier la présence d’une ligne de transport d’électricité ainsi que des sentiers et des chemins forestiers orientés dans l’axe recherché.
Ces emprises offrent l’avantage d’être des milieux impactés, déjà déboisés, minimisant ainsi de nouvelles fragmentations d’habitat forestier. Le tracé retenu a une longueur d’environ 17 km.
La conduite qui permettra d’acheminer l’eau de recirculation captée aux IGRM jusqu’au CMH5 suivra le même tracé.
Stériles
Afin de permettre un entreposage sécuritaire des stériles devant être hissés à la surface, une aire d'accumulation sera aménagée à même les infrastructures existantes du parc à résidus non restauré de l’ancienne mine Norbec.
Ce parc à résidus constitue déjà une enceinte circonscrite par des digues et bassins de captation, permettant une gestion adéquate de stériles. L'aire d'accumulation qui y sera aménagée est considérée comme temporaire, puisqu’elle sera totalement recouverte de résidus avec l’aménagement des IGRM.
Le transport de stériles du CMH5 vers les IGRM aura lieu que pendant la phase de préproduction. Il se fera par camion, à raison d’environ 2 à 10 camions par heure, 5 jours par semaine (entre 7 h et 19 h).
Compte tenu de l'impact potentiel de ces opérations sur la qualité de vie des résidents du boulevard Saguenay et du rang Jason, un itinéraire évitant ces artères a été développé.
L'itinéraire retenu empruntera l’avenue Marcel-Baril depuis le CMH5, la rue Saguenay vers le sud jusqu’au chemin Bradley, puis le chemin Bradley jusqu’au chemin Powell. À partir de cette intersection, une voie de service sera aménagée à l’intérieure du corridor des conduites de résidus miniers et d’eau de recirculation. Il n’y aura donc aucune résidence le long du parcours emprunté.
En phase d'exploitation, tous les stériles seront conservés sous terre et utilisés pour les activités minières (mise en place du remblai en pâte, barricades, drains).
Résidus
Lorsque les anciennes ouvertures souterraines auront été remblayées, les résidus de traitement du minerai ne pouvant être utilisés dans le remblai en pâte seront acheminés aux IGRM, par un réseau de conduites.
- Quatre conduites à double paroi sont prévues pour le transport des résidus : 2 pour les RFP et 2 pour les RCP
- Les conduites de résidus seront instrumentées et des réservoirs de rétention en cas de bris seront installés tout au long du tracé.
Concept d'aménagement des conduites de résidus miniers et d'eau de recirculation
Les résidus qui ne pourront être retournés sous terre seront déposés dans deux aires d’accumulation distinctes : la cellule RFP et la cellule RCP.
La conception des aires d’accumulation tire profit de la topographie existante et draine les eaux de contact de la cellule RFP vers le bassin interne par une digue perméable.
Les eaux captées dans la cellule RCP et dans les systèmes de collecte périphériques seront aussi pompées vers le bassin interne, d’où partira la conduite acheminant l’eau de recirculation des IGRM au CMH5, tel que décrit dans le plan de gestion de l’eau.
Les RCP, qui sont plus réactifs, seront confinés à l’aide d’une géomembrane.
La modélisation hydrogéologique a démontré que la cellule RFP ne requerra pas de géomembrane pour protéger les eaux souterraines.
Séquence de développement des IGRM
Séquence d'opération des IGRM
Après 2 années d'opération de la mine, les aires d’accumulation des résidus seront développées en 5 étapes, chacune correspondant à un rehaussement de digues. L’étape 5 nécessitera la construction d’un nouveau bassin de polissage, puisque le bassin initial servira d’extension à la cellule RFP pendant les 2 dernières années d’exploitation.
Vue en plan des IGRM - fin de l’étape 4 (à gauche) et fin de l'étape 5 (à droite)
Simulation de bris de digues et de conduites
La conception des IGRM fait en sorte que les probabilités de rupture y sont très faibles, notamment en raison de l’absence d’accumulation d’eau contre les digues. Afin de confirmer la classification des structures et de supporter la préparation des plans d’urgence, Falco souhaitait néanmoins répondre à la question :
« Quelles seraient les conséquences d’un bris de digue ou de conduites, sans tenir compte de la probabilité qu’elle se produise ? »
Une modélisation basée sur une hypothèse conservatrice a été réalisée afin de représenter un scénario « pire cas », soit :
Une rupture des digues RFP1 ou RFP2 survenant au même moment que la crue de projet recommandée par la Directive 019 encadrant l’industrie minière (MELCC, 2012).
Crue de projet
Volume d’eau qui doit être contenu à l’intérieur de l’ouvrage de rétention sans qu’il y ait évacuation d’eau par le déversoir d’urgence. Correspond au volume d’eau cumulatif d’une pluie 1 : 2000 ans sur 24 heures et de la fonte des neiges 1 : 100 ans sur 30 jours pour une aire d’accumulation de résidus acidogènes et cyanurés.
Les scénarios modélisés ont démontré que l’eau de contact surnageante accumulée dans les cellules de résidus, ne serait pas mobilisée en cas de rupture. Seuls des résidus s’échapperaient.
L’épanchement de résidus qui résulterait d’une rupture de ces digues n’atteindrait pas les lacs en aval.
Modélisation de bris de la digue RFP-1 (côté est - ruisseau Vauze)
Modélisation bris de la digue RFP-2 (côté ouest - lac Wait)
La source de contamination potentielle proviendrait donc de l’eau de surface qui entrerait en contact avec un épanchement de résidus. Une étude des conséquences potentielles a démontré qu’en cas de contact des eaux de surface avec des résidus suite à une rupture de digue survenant au même moment qu’une crue de projet :
- Les normes sur la qualité de l’eau potable ne seraient probablement pas dépassées, à l’exception de la zone immédiatement autour du point d’entrée de l’eau de contact dans le lac Dufault. Ainsi, un bris de digue couplé à un événement exceptionnel pourrait potentiellement avoir un impact, mais qu’il serait limité à la zone immédiate d’entrée des cours d’eau affectés, notamment le ruisseau Vauze et le ruisseau Duprat.
- La concentration de certains paramètres (cyanures, phosphore total, argent, zinc, cuivre, bromure et nitrites) pourrait dépasser les critères de qualité d’eau pour la vie aquatique ou à des fins récréatives au-delà du point d’entrée de l’eau de contact, mais sans impact sur la qualité de l’eau à la prise d’eau potable.
De façon similaire, des simulations de bris des conduites ont été réalisées, sans égard à la probabilité d’occurrence et malgré les nombreuses mesures prévues pour éviter un tel évènement, celles-ci montrent que :
- Le délai le plus court pour atteindre la prise d’eau potable au sud du lac Dufault serait de 5 jours.
- Les concentrations en contaminant seraient inférieures à la norme de consommation de l’eau potable à la prise d’eau potable pour tous les scénarios.
- L’impact sur la vie aquatique se ferait sentir pendant seulement quelques mois.
- Le changement de couleurs serait visible au point de déversement, mais pas à la prise d’eau potable.
Mesures et engagements
En plus de la stratégie visant à gérer les résidus de façon durable et sécuritaire, de nombreux éléments de conception ainsi que d’autres mesures d’atténuation et des engagements pris par Falco sont prévus pour maximiser la protection de l'environnement dans les secteurs d’activités du projet Horne 5.
Ces mesures ont débuté dès la conception et continuent à être intégrées à chaque étape de développement du projet. Elles incluent notamment :
Une stratégie priorisant la valorisation des résidus, par leur utilisation dans le remblai en pâte et minimisant l’impact en surface en utilisant un maximum de stériles sous terre, en déposant des résidus dans les anciennes mines souterraines et en utilisant un site déjà impacté pour l’accumulation des stériles et des résidus en surface. Des critères de sélection de site visant à atténuer les impacts sur la communauté et l’environnement, par : La sélection d’un site déjà impacté, pas entièrement restauré et nécessitant un traitement de l’eau pour les IGRM.
- Le choix d’un itinéraire atténuant les impacts sur la qualité de vie des résidents et la sécurité des utilisateurs de la route pour le transport des stériles.
- L’utilisation d’emprises existantes pour le tracé des conduites.
Des critères de conception visant à limiter les impacts sur l’environnement, particulièrement pour protéger la source d’eau potable de Rouyn-Noranda, incluant notamment :
- L’installation de réservoirs de rétention des fuites instrumentés, afin de contenir et détecter d’improbables fuites. L'utilisation de 2 conduites par type de résidus, permettant de réduire la quantité de résidus circulant dans une conduite, afin de réduire la quantité pouvant s’échapper en cas peu probable de défaillance.
- L’enfouissement ou le recouvrement des conduites avec du matériel granulaire végétalisé, afin de les protéger du vandalisme et d'en permettre la traversée par la faune locale.
Une conception hautement sécuritaire des IGRM, minimisant les risques de rupture de digue pouvant occasionner un déversement dans l'environnement, notamment par :
- La conception de digues suivant les directives et les recommandations pour la construction de barrages miniers établit par l’Association canadienne des barrages (ACB, 2014) et, par mesure préventive, l’utilisation de critères de conception applicables aux digues à niveau de risque « très élevé », afin de hausser les facteurs de sécurité. L'utilisation d’un minimum de digues, en tirant profit de la topographie existante et en drainant ou pompant les eaux du site vers un bassin délimité par la topographie existante.
- Une gestion et une conception faisant l’hypothèse que les 2 types de résidus et l’ensemble des stériles puissent être acidogènes et lixiviables.
Des méthodes de construction et des procédures de travail respectant les meilleurs pratiques et minimisant les impacts dont :
- L’utilisation d’abrasifs au lieu de fondants et d’eau au lieu de solutions chimiques comme abat-poussière.
- Le nettoyage et l’entretien des équipements dans des infrastructures prévues à cet effet.
- Le nivellement des surfaces pour capter les eaux de ruissellement et la mise en place de traitements pour réduire les matières en suspension avant leur rejet.
- La réalisation des travaux susceptibles d’affecter l’hydraulicité des cours d’eau durant les périodes d’étiage.
Des mesures de restauration et des projets de compensation visant à rétablir ou améliorer les milieux naturels :
- La restauration des aires d’accumulation, afin de prévenir la contamination que pourrait engendrer les résidus cyanurés, acidogènes et lixiviables qui y sont déposés.
- La restauration du site des IGRM au long terme, sans nécessiter d’intervention, ni pompage, ni traitement d’eau.
- La compensation des pertes de milieux humides et hydriques.
Des mesures de suivi de la qualité de l’eau tout au long de la durée de vie du projet, incluant la postrestauration :
- La mise en place d’un programme de surveillance de l’eau de surface et de l’eau souterraine, incluant l’installation d’un réseau de puits d’observation en périphérie des infrastructures minières et un programme d’échantillonnage périodique, afin d’en faire le suivi.
- Le suivi de la qualité de l’eau dans les puits résidentiels les plus proches des activités minières prévues.
D’autres mesures contribueront aussi à réduire l’impact de la gestion des résidus dans les secteurs d’activités du projet Horne 5, incluant celles qui seront appliquées pour minimiser l’impact sur la qualité des sols, des sédiments et de l’air ambiant ainsi qu’à la protection de l’eau.
Pour en savoir plus sur les mesures d’atténuation courantes et spécifiques prévues par Falco pour réduire l’impact du projet Horne 5 sur le milieu récepteur et sur la gestion des résidus :
Pour des informations plus récentes, surveillez la parution du résumé de l’ÉIE à venir.
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